Les employeurs veulent embaucher des personnes ayant des compétences du 21e siècle et ils ne peuvent pas trouver suffisamment de candidats qualifiés. Le problème, dit Charles Fadel, Fondateur du Centre for Curriculum Redesign, est que notre système d'éducation “est sollicité pour les exigences d'entrée au collège par des tests tels que le SAT qui sont partiellement obsolètes, et jamais réfléchi particulièrement bien aux besoins de l'employabilité.” Donc, étant donné les transformations spectaculaires que nous voyons dans le lieu de travail, quels sont les moyens les plus efficaces pour combler l'élargissement de plus en plus gap l'éducation à l'emploi?
Aujourd'hui dans la partie 4 de La recherche globale pour l'éducation 5-séries partie avec Charles Fadel, nous nous concentrons sur les compétences. Andreas Schleicher de l'OCDE appelle le livre de Fadel, Quatre-Dimensional Education: Les compétences des apprenants ont besoin pour réussir, une “premier du cadre d'organisation type de compétences requises pour ce siècle qui définit les espaces dans lesquels les éducateurs, planificateurs de programmes scolaires, les décideurs politiques et les apprenants peuvent établir ce qui doit être appris.”
Charles, how do you respond to employers’ préoccupations que les élèves ne possèdent pas les compétences nécessaires pour être productifs dans leurs entreprises?
Pour les deux dernières décennies, les employeurs ont déclaré qu'ils sont à la recherche pour les employés capables d'afficher le “4 C de”: de penser critique – résoudre les problèmes et d'en tirer des décisions éclairées – ainsi que de travailler créativement, et capable de communiquer et de collaborer sur une base systématique. Tel est le cadre que nous avons développé au Partenariat pour l'apprentissage au 21e siècle (P21).
Nous avons vu des enquêtes effectuées par, entre autres,, le Conference Board et P21, et BIAC à l'OCDE, soulignant que le “4 C est décrit ci-dessus soit plus que jamais pour l'employabilité dans le monde entier. Ce n'est pas un nouveau besoin, mais il a été plus en plus important des pressions concurrence et temps de mise sur le marché d'intensifier.
Il est bien sûr juste de dire que les employeurs attendent des écoles et des systèmes d'enseignement supérieur que les étudiants soient prêts pour le monde du travail, ainsi que monde de la vie. Ils vont main dans la main et il n'y a rien de mal dans l'éducation à la fois l'employabilité et la vie. Ceci est une fausse dichotomie que nous devons éduquer pour tous les niveaux de la pyramide de Maslow: nous avons tous besoin de prendre soin des besoins physiologiques, mais également la sécurité, amour / appartenance, et l'auto-actualisation.
Que diriez-vous à un jeune diplômé qui a travaillé dur dans un établissement très coûteux et qui n'a pas été en mesure de trouver un emploi à temps plein avec de bons avantages sociaux?
Première, Je dirais, “vous avez toute ma sympathie, Je suis désolé que le système n'a pas de vous offrir une meilleure orientation, en particulier étant donné le prix que vous avez payé. Marques matière, bien sûr, mais pour faire de réelles compétences, et le système actuel est centré sur l'université de passage, pas vraiment sur l'employabilité.”
Ensuite, je dirais, “si vous êtes encore au collège, assurez-vous que vous faites de nombreux stages et projets avec l'industrie. Et peu importe que ce soit avant ou après l'obtention du diplôme, réaliste et honnêtement documenter la façon dont vous avez développé ces compétences réelles via chaque cours, afin que vous puissiez en discuter lors de vos entretiens.”
Parlons compétences. Quelles sont les compétences essentielles étant exclues du programme ou qui ne reçoivent pas assez d'importance dans les programmes?
Première, soyons clairs en indiquant que ceci est sur les compétences et non les qualités de caractère – ceux-ci ont été couverts ailleurs avant. Les compétences dont nous parlons sont: créativité, communication de la pensée critique, et collaboration. Ils sont essentiels à la fois pour le monde du travail et de la réussite dans la vie.
Maintenant, bien sûr, éducation actuelle atteint un certain montant de cette, avec des degrés de succès. D'abord, there is the assumption that teaching a discipline will necessarily foster higher-order thinking skills. It is mostly unfounded, as fast and broad coverage of materials typically supercedes the deeper learning that needs to occur.
Deuxièmement, pedagogy needs to change – par exemple, it is hard to imagine how a passive listener would learn how to communicate and collaborate.
How do you see the importance of these skills in addressing the key trends and issues we are seeing globally, such as climate change and migration?
The global challenges we are facing require not just modern areas of knowledge, but how to use that knowledge effectively, which is what the 4C’s are about: how will we design water desalination systems? How will we foster entrepreneurship? Just about any contemporary question requires innovative and critical thinking. And it is also clear that communicating across cultures convincingly, and collaborating ethically and dynamically, are must-haves in an otherwise siloed world.
What are the primary drawbacks in the way current curriculum is organized in terms of developing the needed skills? Are these fundamental issues or constraints that are not overly challenging to modify?
Present-day curriculum in schools and higher education assumes that these skills will be naturally developed as the students acquired knowledge. But nothing can be further from the truth: knowledge can remain completely inert. Skills are how knowledge is used but one can learn in a rote way and never deepen skills.
A long-standing debate in education hinges on the false assumption that teaching skills will detract from teaching knowledge; this is a false dichotomy as studies have shown that when knowledge is learned passively without skills, it is often learned at the superficial level and therefore does not readily transfer to new environments. Deep understanding and actionability for the real world will occur only by embedding skills within the knowledge domain such that each enhances the other.
What steps need to be taken to better integrate the development of the essential skills into curriculum?
There are three steps that need to be taken to better integrate skills into the curriculum: Tout d'abord, re-examining the curriculum for obsolete areas so as to free up time and space for deeper learning to occur, hence skill development. Par exemple, if we are serious about using Mathematics to help develop creativity, this must allow for exploration and inquiry about various possibilities. Thus the need for time, which implies carefully curating topics of less importance. Deuxième, the identification of which part of the curriculum is more suited for teaching which skill: every single discipline can cover every single skill deeply, but some are well-suited for specific skills, by their very nature: caricaturally perhaps, maths for critical thinking, language for communication, arts for creativity, etc. Et troisièmement, the training of teachers to know how to activate those mechanisms, in concert with other specialists helping out on a topic-by-topic basis, from inside as well as outside the school (including professionals from industry). There is no reason for the educators to be so isolated.
Are there any subject areas that should receive greater emphasis to support the essential skill development process, e.g. les arts, programmation informatique, etc?
Each subject area or discipline has the latitude to teach these four skills; it is a question of pedagogy and how time is used in the classroom, to pay attention to not merely learning of knowledge but also how to apply that knowledge. Par exemple, one can use maths, if done right, to teach not only critical thinking, but also creativity, communication, et collaboration.
How can employers and educators work together on skills?
Les employeurs doivent rester impliqués dans la fabrication de leurs besoins entendus, and education institutions have to accept that we educate for life and work, not only life – this is a false dichotomy. Life is difficult for most people without work, which brings not only income, but also self-esteem and satisfaction in making contributions.
Merci Charles. En Partie 5 de La recherche globale pour l'éducation series with Charles Fadel, we will focus on WHAT Meta Learning?
Pour plus de renseignements sur Quatre-Dimensional Education .
Pour plus d'informations au sujet de la Center for Curriculum Redesign.
(Toutes les photos sont une gracieuseté de CMRubinWorld et le Center for Curriculum Redesign)
Rejoignez-moi et leaders d'opinion de renommée mondiale dont Sir Michael Barber (Royaume-Uni), Dr. Michael Bloquer (États-Unis), Dr. Leon Botstein (États-Unis), Professeur Clay Christensen (États-Unis), Dr. Linda Darling-Hammond (États-Unis), Dr. MadhavChavan (Inde), Le professeur Michael Fullan (Canada), Professeur Howard Gardner (États-Unis), Professeur Andy Hargreaves (États-Unis), Professeur Yvonne Hellman (Pays-Bas), Professeur Kristin Helstad (Norvège), Jean Hendrickson (États-Unis), Professeur Rose Hipkins (Nouvelle-Zélande), Professeur Cornelia Hoogland (Canada), Honorable Jeff Johnson (Canada), Mme. Chantal Kaufmann (Belgique), Dr. EijaKauppinen (Finlande), Le secrétaire d'Etat TapioKosunen (Finlande), Professor Dominique Lafontaine (Belgique), Professeur Hugh Lauder (Royaume-Uni), Seigneur Ken Macdonald (Royaume-Uni), Professeur Geoff Masters (Australie), Professeur Barry McGaw (Australie), Shiv Nadar (Inde), Professeur R. Natarajan (Inde), Dr. PAK NG (Singapour), Dr. Denise Pape (États-Unis), Sridhar Rajagopalan (Inde), Dr. Diane Ravitch (États-Unis), Richard Wilson Riley (États-Unis), Sir Ken Robinson (Royaume-Uni), Professeur Pasi Sahlberg (Finlande), Professeur Manabu Sato (Japon), Andreas Schleicher (PISA, OCDE), Dr. Anthony Seldon (Royaume-Uni), Dr. David Shaffer (États-Unis), Dr. Kirsten immersive, (Norvège), Chancelier Stephen Spahn (États-Unis), Yves Thézé (LyceeFrancais États-Unis), Professeur Charles Ungerleider (Canada), Professeur Tony Wagner (États-Unis), Sir David Watson (Royaume-Uni), Professeur Dylan Wiliam (Royaume-Uni), Dr. Mark Wormald (Royaume-Uni), Professeur Theo Wubbels (Pays-Bas), Professeur Michael Young (Royaume-Uni), et le professeur Zhang Minxuan (Chine) alors qu'ils explorent les grandes questions d'éducation de l'image que toutes les nations doivent faire face aujourd'hui.
La recherche globale pour l'éducation communautaire page
C. M. Rubin est l'auteur de deux séries en ligne largement lecture pour lequel elle a reçu une 2011 Upton Sinclair prix, “La recherche globale pour l'éducation” et “Comment allons-nous savoir?” Elle est également l'auteur de trois livres à succès, Y compris The Real Alice au pays des merveilles, est l'éditeur de CMRubinWorld, et est une fondation perturbateurs Fellow.
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